En arrière-plan, des commerçants pleurent une manœuvre à travers la mairie du quartier de Douala 2.

Il y a quelques semaines, la mairie mentionnée le long de la rue du marché Nkololoun délimitait des quartiers en bordure de chaussée. Ces rectangles dessinés, environ 300, ont chacun une superficie d’environ 1 m2. Pour s’installer dans l’un de ces espaces pour vendre leurs marchandises, les commerçants devaient payer la somme de 100 000 francs CFA par an. Une décision qui à l’époque avait déjà rencontré la désapprobation des vendeurs qui préféraient reculer d’un mètre leurs tables et bâches pour tenter de dégager le passage.

«Nous ne voulons pas payer et aujourd’hui, ils viennent nous expulser. Que vendons-nous pour payer 100 000 francs CFA pour une place en bord de route? Nous sommes juste ingénieux. Nous n’avons rien », se plaint Eric, un négociant en fruits. Lors de l’affrontement, des commerçants en nombre et en chant se sont rendus à la 2ème sous-préfecture de Douala, devant la prison centrale de Douala. Leur objectif était de s’emparer de l’autorité administrative sur cette situation. Ils ont été repoussés par la police avec des gaz lacrymogènes.

Mathias, qui a déplacé le Ngam

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Ref. : 237online.com

A REGARDER ABSOLUMENT…

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